Contenus en rapport avec le mot-clé guerre des chefs

Alors que Bruno Retailleau semblait avoir emporté pour de bon le parti des Républicains en mai dernier, son rival malheureux, Laurent Wauquiez, fait entendre ses derniers jours sa petite musique en annonçant qu'il ne censurerait pas d'office un gouvernement socialiste. Une manière de marquer sa liberté avec en ligne de mire la présidentielle 2027 ? Décryptage.

Le secrétaire général des Républicains fera connaître « dans quelques jours » son choix et son éventuelle candidature. Aurélien Pradié ne souhaite pas que l’élection du président LR divise sa famille politique.

Dans un entretien au Figaro, Christian Jacob a déclaré se lancer dans la course à la présidence de LR. Interrogé sur son opposition avec Bruno Retailleau, il a déclaré avoir "acté avec lui le fait qu’il serait suicidaire d’être candidat l’un contre l’autre". Il ajoute "On ne peut pas dire: voilà la ligne, qui m’aime me suive".

Transformé en chef de guerre depuis vendredi 13 novembre, le président de la République multiplie les mesures et les démonstrations de sa détermination.

Nicolas Sarkozy tente de s'imposer comme leader de la droite en déniant au FN son rôle de "premier parti de France". Manuel Valls, lui, fait de son discours contre le FN un moyen de "rappeler à l'ordre" les frondeurs et de s'afficher comme un potentiel candidat pour une prochaine élection présidentielle.

Chefs comme électeurs de droite entretiennent une relation distante avec les idées et s’intéressent plus aux hommes et contrairement à l’idée qu’on peut s’en faire, ça fonctionne en fait très bien. Partie 2

68% des Français pronostiquent implosion de l'UMP, selon un sondage Odoxa pour l'émission d'iTélé CQFD et Le Parisien, publié ce samedi.

Chefs comme électeurs de droite entretiennent une relation distante avec les idées et s’intéressent plus aux hommes et contrairement à l’idée qu’on peut s’en faire, ça fonctionne en fait très bien.

Alors que la coalition occidentale menée par les Américains compte rétablir la stabilité en Irak et le pouvoir officiel, les zones passées hors de contrôles favorisent davantage l'émergence de chefs armés.

Si de nombreux observateurs constatent un "mouvement dextrogyre" de l'opinion politique française, la droite peine à se reconstruire depuis la défaite de Nicolas Sarkozy.

Jean-François Copé rassemble aujourd'hui son camp à Châteaurenard, François Fillon le suivra de peu mercredi prochain avant une réunion des amis de Nicolas Sarkozy le 1er septembre. Une guerre de chapelles préoccupante pour la santé du parti.

Alors que Jean-François Copé et François Fillon semblaient prêts à tourner la page de l'élection contestée à la présidence du parti, François Baroin évoque "une querelle doctrinale profonde" avec les primaires parisiennes - dont Pierre-Yves Bournazel a demandé l'annulation - et une ambiance délétère, saumâtre comme toile de fond.

Après la guerre des Malouines, une fois son autorité retrouvée, Margaret Thatcher avait pu mener une réforme économique douloureuse mais déterminante. François Hollande saura-t-il en faire autant ?

Au-delà des enjeux géopolitiques de l'intervention française au Mali, cet événement propulse François Hollande dans un rôle nouveau : celui de chef de guerre. La popularité du président devrait s'en trouver revigorée... tant que tout se passe bien pour les troupes françaises.

L'actuel secrétaire général de l’UMP estime que la désignation du nouveau président du parti n'est pas une primaire pour 2017.

L'ancien président du Sénat estime que l'ex Premier ministre est le mieux placé pour '"incarner un projet d'alternance".